C’est une grande première pour moi, même si je le fais en coulisse, je me suis décidée à ma participation officieuse et non officielle de la NaNoWriMo 2021.
Alors pour les novices comme moi, une petite explication du Kézako s’impose.
La NaNoWriMo est un mois national d’écriture de roman, (in English, please : National Novel Writing Month)
L’idée est de produire 50000 mots de son projet de roman, soit environs 175 pages en seulement un mois. Quel challenge ! Cela tombe bien car le challenge est un peu le sujet de mon nouveau livre.
Alors oui, j’ai déjà attaqué toute la réflexion, le travail préparatoire, quelques paragraphes par-ci, par là, notamment depuis le lancement en vente de mon premier roman initiatique « Ada ou comment devenir une fantastibuleuse » que vous pouvez retrouver sur ce site, ou en version Ebook sur kobo ou amazon.
Du coup, je trouve que cette aventure de NaNoWriMo 2021 peut me permettre de me mettre un bon coup de pied aux fesses.
Non pas que je procrastine ( peut-être un peu certes, c’est l’effet augmentation du gasoil et compagnie qui fait surgir mon côté rebelle et m’empêche de rester focus sur l’essentiel : prendre soin de moi. Et l’écriture me transporte. Quand je pars dans ce processus d’imagination et de réflexion, je me sens tellement bien. Tous les soucis s’envolent, je suis juste là avec mes personnages et leurs aventures.) Je m’éloigne.
Pour revenir à la NaNoWriMo et ses 50000 mots, non pas que je suis une fan du décompte du chiffre- compter n’est vraiment pas pour moi, déjà dans la profession que je pratique au quotidien, diététicienne spécialisée dans la nutrition du sport et également dans la prise en charge des différents comportements, je m’éloigne un maximum des méthodes chiffrées avec les compteurs de calories, et autre principe d’IMC et compagnie alors dans un processus d’écriture, vous imaginez ?
Trop de pression que de compter ces mots.
Ce qui m’intéresse dans ce défi, c’est surtout le fait d’être enthousiasmer grâce à cette communauté avec laquelle j’embarque, et que j’apprends à connaitre tant je suis novice. Ces rencontres virtuelles par la lecture de leurs blogs, de leurs posts sur les différents réseaux sociaux me stimulent dans cette envie que j’ai au quotidien de faire passer des messages, et aussi de contribuer d’une certaine manière à aider les personnes qui me lisent.
C’est d’ailleurs ce que j’ai souhaité réaliser dans mon premier roman dont les ventes permettront d’élaborer le guide dit grimoire qui permettra de guider les femmes qui ne peuvent pas s’offrir le luxe d’un accompagnement avec un professionnel comme une diététicienne spécialisée dans le comportement.
De plus, le fait de vous l’annoncer via cet article, même si je le réalise officieusement me stimulera à vous dévoiler l’avancer de ce nouveau roman, qu’en pensez vous ?